J’ai toujours détesté la pornographie. Ces corps nu, suants, qui s’entrechoquent comme des objets, sans sentiments. Sans pudeur, ni gêne ; comme le feraient des animaux en cage, observés par les visiteurs pervers d’un zoo quelconque.
Le summum de la vulgarité, la quintessence de la perversion. Une perversion nécessaire cependant, qui, j’aime le croire peut permettre à quelques pervers d’assouvir de basses pulsions seuls ; faces à eux même. Si le X peut épargner les déviances sexuelles des uns, à d’autres non consentants, alors il aura été d’utilité publique.
Pourtant, je ne suis pas prude. J’aime le sexe. Je l’ai même pratiqué dans divers endroits, certains moins avouables que d’autres. Tout en me limitant tout de même à un amant à la fois. Pas prude, mais pas dévergondé pour autant !
En réalité l’aspect voyeuriste du genre me dérange. Observer une jeune femme se faire dompter par un ou plusieurs partenaires, ne me parait ni beau ni excitant - humiliant, tout au plus. Pour autant, je ne pense pas que la pornographie devrait être bannie.
Colin VETTIER
jeudi 12 juin 2008
La Circonférence de l'Amour - Chapitre 8
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Colin VETTIER
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